- / Anaïs Rabet
Simulateur DPE 2026 : Anticipez la réforme du coefficient électrique
La réforme DPE 2026 s’annonce comme un tournant majeur pour le secteur immobilier français. Dès le 1er janvier 2026, le nouveau coefficient de conversion électrique passera de 2,3 à 1,9, bouleversant le calcul du diagnostic de performance énergétique et offrant un espoir inédit aux propriétaires de logements électriques.
Cette modification réglementaire, officialisée par l’arrêté ministériel de juillet 2025, pourrait transformer radicalement le paysage des passoires thermiques. Selon les estimations officielles, près de 850 000 logements actuellement classés en catégories E, F ou G pourraient voir leur étiquette DPE s’améliorer d’une, voire deux lettres. Une révolution qui concerne particulièrement les biens chauffés à l’électricité, jusqu’ici pénalisés par l’ancien coefficient.

Qu'est-ce que le simulateur DPE 2026 ?
Le simulateur DPE 2026 est un outil numérique révolutionnaire qui permet de calculer instantanément la future classe énergétique d’un logement selon les nouveaux critères réglementaires applicables dès janvier 2026.
Contrairement à un diagnostic de performance énergétique traditionnel qui nécessite la visite physique d’un diagnostiqueur certifié, ce simulateur exploite les données déjà existantes de votre DPE actuel pour projeter les résultats post-réforme.
Concrètement, notre simulateur DPE Diagadom récupère les informations techniques de votre bien (surface, mode de chauffage, isolation, etc.) déjà enregistrées dans la base ADEME, puis applique automatiquement les nouvelles méthodes de calcul. En quelques secondes, vous obtenez une comparaison claire entre votre étiquette DPE actuelle et celle que vous aurez après la réforme.
Impact révolutionnaire de la réforme du coefficient électrique
Pourquoi ce changement de coefficient ?
L’ancien coefficient de 2,3 datait d’une époque où le mix énergétique français était différent. Aujourd’hui, avec plus de 70% d’électricité d’origine nucléaire et le développement des énergies renouvelables, la France produit une électricité largement décarbonée. Le nouveau coefficient de 1,9 reflète mieux cette réalité environnementale et place l’électricité dans une position plus favorable face aux énergies fossiles importées comme le gaz ou le fioul.
Conséquences pratiques pour votre bien
Cette modification du coefficient électrique se traduit par des améliorations spectaculaires pour de nombreux logements :
Pour un appartement type de 60m² chauffé à l’électricité :
- Ancien calcul (coefficient 2,3) : Classe E (consommation calculée à 280 kWh/m²/an)
- Nouveau calcul (coefficient 1,9) : Classe D (consommation recalculée à 240 kWh/m²/an)
Cette amélioration d’une lettre peut faire la différence entre un bien louable et un bien frappé d’interdiction de location, entre une vente difficile et une valorisation immobilière réussie.
Réforme DPE 2026 : Les changements à connaître
Nouveau coefficient électrique : de 2,3 à 1,9
Actuellement, le DPE repose sur un calcul en énergie primaire, c’est-à-dire l’énergie consommée avant transformation et distribution. Pour l’électricité, ce calcul inclut un coefficient de conversion de 2,3. En clair, lorsqu’un logement consomme 1 kWh d’électricité finale, le DPE en comptabilise 2,3 kWh d’énergie primaire, ce qui dégrade sa performance perçue.
À partir de janvier 2026, ce coefficient sera abaissé à 1,9, conformément à l’arrêté en préparation par le Ministère de la Transition écologique (source : Ministère de la Transition écologique). Ce changement permettra de mieux refléter la réalité énergétique des logements électriques, notamment ceux équipés de systèmes performants comme les pompes à chaleur ou les convecteurs nouvelle génération.
En réduisant cet écart, le gouvernement souhaite :
- Corriger une incohérence technique dénoncée depuis plusieurs années par les acteurs du secteur
- Encourager l’électricité comme énergie de chauffage bas carbone
- Récompenser les logements faiblement émetteurs de CO₂
Selon l’ADEME, cette simple modification pourrait reclasser plus de 850 000 logements aujourd’hui considérés comme des passoires thermiques (source : ADEME).
Impact sur les passoires thermiques
Le changement de coefficient électrique aura un effet spectaculaire sur de nombreux logements classés F ou G, communément appelés passoires thermiques. Jusqu’ici, les logements chauffés à l’électricité étaient souvent injustement relégués dans ces catégories, même en cas de consommation modérée.
Grâce à la réforme, de nombreux biens verront leur étiquette DPE s’améliorer sans réaliser de travaux. Par exemple, Un studio de 25 m² avec un chauffage électrique performant, actuellement en classe F, pourrait passer en classe E ou D. Un appartement récent mal classé pour sa source d’énergie pourrait sortir automatiquement de la catégorie « passoire ».
Cette évolution a des conséquences très concrètes :
- Les propriétaires bailleurs pourront conserver leur droit de location, même après 2028, pour les logements actuellement classés F ou G
- Les vendeurs bénéficieront d’une meilleure attractivité de leur bien sur le marché
- Les acheteurs seront mieux informés sur la performance réelle du logement
En parallèle, cette réforme réduit la pression sur les travaux de rénovation énergétique coûteux, en reconnaissant les avancées technologiques des équipements récents.
Calendrier officiel : juillet 2025 → janvier 2026
Le déploiement de la réforme du DPE suivra un calendrier précis, qui a déjà été annoncé par les autorités.
➡️ Juillet 2025 :
Le nouvel arrêté ministériel précisant les modalités techniques du calcul sera publié au Journal Officiel, validant officiellement le passage du coefficient électricité de 2,3 à 1,9.
➡️ Deuxième semestre 2025 :
Les éditeurs de logiciels DPE, les diagnostiqueurs et les plateformes comme Diagadom auront le temps de mettre à jour leurs outils pour intégrer les nouvelles règles.
➡️ 1er janvier 2026 :
La réforme entre en vigueur. Dès cette date, tous les nouveaux diagnostics prendront en compte le nouveau coefficient électrique. Par ailleurs, un simulateur comme celui de Diagadom vous permet d’anticiper ces changements avant leur application légale, et ainsi de mieux planifier vos projets immobiliers.
Ce calendrier, validé par le Ministère de la Transition écologique, s’inscrit dans une stratégie plus large visant à éradiquer les passoires thermiques d’ici 2034 (source officielle).
Comment fonctionne notre simulateur DPE Diagadom ?
Pour aider les propriétaires à anticiper les impacts de la réforme DPE 2026, Diagadom a conçu un simulateur en ligne intuitif, rapide et gratuit. Cet outil vous permet de connaître, en quelques clics, l’étiquette énergétique actuelle de votre bien et sa projection après l’entrée en vigueur du nouveau coefficient électrique.
Contrairement aux démarches administratives souvent lourdes, notre simulateur vous offre une expérience fluide, structurée en trois étapes simples : la saisie des données, le calcul automatique, puis l’affichage instantané des résultats.
Saisie des données
Dès la première étape, le simulateur vous invite à renseigner une donnée clé : le numéro ADEME de votre DPE existant.
Ce numéro, unique à chaque diagnostic de performance énergétique, se trouve généralement en haut à droite du document officiel. Il permet au simulateur de retrouver automatiquement les informations techniques du bien, telles que :
- La surface habitable
- Le mode de chauffage
- Le niveau d’isolation
- La consommation énergétique actuelle.
Grâce à cette saisie intelligente, vous gagnez du temps et évitez les erreurs de saisie manuelle.
De plus, si vous ne disposez pas du numéro ADEME, l’adresse suffit. Le simulateur croisera les données cadastrales et énergétiques disponibles pour reconstituer une estimation fiable du classement DPE.
Calcul automatique avant/après
Une fois les données saisies, le simulateur Diagadom déclenche un double calcul DPE. Le premier basé sur le coefficient électrique actuel (2,3), le second basé sur le nouveau coefficient 2026 (1,9)
Cette comparaison avant/après vous permet de visualiser immédiatement l’impact de la réforme sur votre logement.
Par exemple, un appartement classé F aujourd’hui peut passer en classe E, voire D après le 1er janvier 2026, sans aucun travaux.
Ce calcul s’appuie sur les algorithmes officiels validés par le Ministère de la Transition écologique, intégrés dans les outils de Diagadom et mis à jour selon l’arrêté prévu pour juillet 2025.
Cette fonction vous donne un avantage stratégique : vous pouvez anticiper les changements réglementaires et prendre des décisions éclairées sur la vente, la location ou la rénovation de votre bien.
Résultats instantanés et gratuits
Enfin, le simulateur vous fournit un résultat immédiat, lisible et sans frais. En moins de 30 secondes, vous découvrez :
- L’étiquette énergétique actuelle de votre logement
- L’étiquette prévisionnelle post-réforme
- Un commentaire explicatif sur les gains ou les pertes éventuels
- Des recommandations personnalisées selon votre situation
Tout cela, sans inscription obligatoire, et surtout sans engagement.
Cette transparence est essentielle. Chez Diagadom, nous croyons qu’un propriétaire bien informé est un propriétaire qui agit mieux.
C’est pourquoi notre simulateur, tout en étant gratuit, repose sur des données officielles (notamment celles de l’ADEME et du Ministère de la Transition écologique) et respecte scrupuleusement les règles de calcul DPE en vigueur.
Qui est concerné par la réforme DPE 2026 ?
Logements électriques : les grands gagnants
En tout premier lieu, la réforme DPE 2026 favorise les logements chauffés à l’électricité. Jusqu’à présent, ces logements ont souvent souffert d’un classement injustement défavorable, principalement à cause du coefficient de conversion énergétique de 2,3. Ce facteur technique majorait artificiellement leur consommation d’énergie primaire, les faisant basculer dans les classes F ou G, même lorsqu’ils affichaient de bonnes performances en énergie finale.
En abaissant ce coefficient à 1,9, le nouveau DPE rééquilibre enfin l’évaluation des logements électriques. En pratique, cela signifie qu’un appartement chauffé avec des radiateurs récents ou une pompe à chaleur pourra gagner une à deux lettres sur son étiquette énergétique, sans changement technique.
Par conséquent, les logements électriques deviennent les grands gagnants de cette réforme. Ce gain de classement impacte directement la valeur du bien, mais aussi sa rentabilité locative.
Selon les estimations de l’ADEME, plus de 850 000 logements électriques pourraient ainsi sortir du statut de passoire thermique dès 2026 (source : ADEME).
Petites surfaces : double bénéfice
En plus des logements électriques, les petites surfaces tirent un double avantage de la réforme. D’une part, elles sont majoritairement chauffées à l’électricité, notamment dans les centres-villes et les logements étudiants. D’autre part, leur consommation par mètre carré reste souvent maîtrisée, ce qui améliore naturellement leur classement DPE.
Avant la réforme, ces biens — souvent des studios ou des T1 de moins de 30 m² — se retrouvaient facilement en classe F ou G, malgré des consommations globales faibles. Désormais, avec le nouveau coefficient :
- Ils passent plus facilement en classe E ou D
- Ils échappent aux contraintes réglementaires liées aux passoires thermiques
- Ils deviennent plus attractifs pour les investisseurs, notamment en location meublée
Ainsi, la réforme ne fait pas que corriger une anomalie : elle redonne de la valeur à un segment immobilier clé, particulièrement en zone urbaine.
Impact sur l'interdiction de location des DPE E
Enfin, il est crucial de comprendre que cette réforme modifie profondément le périmètre de l’interdiction de location à venir. En effet, la loi Climat et Résilience prévoit l’interdiction progressive de mise en location des logements les plus énergivores, selon le calendrier suivant :
Or, si vous possédez actuellement un bien en classe E, vous risquez à terme de ne plus pouvoir le louer. Mais grâce à la réforme DPE 2026, de nombreux logements classés E pourraient passer en D, échappant ainsi à l’interdiction de location.
C’est une opportunité stratégique pour les bailleurs concernés. En utilisant un simulateur fiable, comme celui proposé par Diagadom, vous pouvez vérifier dès aujourd’hui si votre logement est éligible à une revalorisation du classement énergétique, sans avoir à réaliser des travaux coûteux.
En anticipant, vous protégez votre investissement locatif, tout en restant en conformité avec la réglementation future.
Validité et aspect légal du nouveau DPE
Conformément aux annonces du Ministère de la Transition écologique, la réforme fera l’objet d’un arrêté officiel publié au Journal Officiel en juillet 2025. Cet arrêté viendra modifier l’annexe de l’arrêté du 31 mars 2021 relatif au contenu et aux modalités d’établissement des diagnostics de performance énergétique.
Ce texte précisera notamment :
- Le nouveau coefficient d’électricité (1,9) appliqué à partir de 2026
- Les conditions de mise à jour des logiciels DPE
- Le calendrier d’entrée en vigueur de la réforme
Ainsi, le cadre légal deviendra parfaitement clair et permettra aux diagnostiqueurs, aux éditeurs de logiciels et aux propriétaires de se préparer sereinement.
Dès la parution de l’arrêté, nous avons mis à jour notre simulateur pour garantir une parfaite conformité avec la réglementation, tout en vous offrant une projection fiable avant même l’entrée en vigueur officielle.
Validité du diagnostic immobilier après la réforme
Une question revient souvent : que devient un diagnostic immobilier réalisé avant 2026 ? Est-il encore valable après la réforme ?
La réponse est oui… mais sous conditions. En effet, la validité d’un diagnostic immobilier ne dépend pas uniquement des changements réglementaires. Elle repose aussi sur sa date d’édition. À ce jour :
Un DPE réalisé entre le 1er juillet 2021 et le 31 décembre 2025 reste valide pendant 10 ans, sauf si le logement fait l’objet de travaux importants modifiant ses performances.
Toutefois, à partir du 1er janvier 2026, les DPE en cours pourraient ne plus refléter la réalité énergétique du logement, notamment pour les biens chauffés à l’électricité.
Autrement dit, même si votre diagnostic reste juridiquement valide, il risque de perdre sa pertinence commerciale et réglementaire. En effet, si votre bien passe d’une classe F à une classe E ou D grâce à la réforme, ne pas actualiser votre DPE pourrait vous pénaliser en cas de vente ou de mise en location.
C’est pourquoi Diagadom recommande vivement de simuler gratuitement votre nouveau DPE dès maintenant. Réactualiser votre diagnostic immobilier après l’entrée en vigueur de la réforme, afin de bénéficier officiellement d’une meilleure étiquette DPE
Cette mise à jour devient alors un levier stratégique pour valoriser votre bien, rassurer les acheteurs ou éviter les restrictions liées à la location.
Utiliser le simulateur Diagadom X Wattless : Mode d’emploi
Maintenant que vous avez compris les enjeux de la réforme DPE 2026, il est temps de passer à l’action. Grâce à son interface simple et intuitive, le simulateur Diagadom vous permet de vérifier en quelques clics l’impact réel de la réforme sur votre logement. Que vous soyez propriétaire, bailleur ou vendeur, vous pouvez prendre une décision éclairée rapidement et sans engagement.
Étapes de simulation
Pour commencer, rendez-vous directement sur la page dédiée au simulateur DPE 2026 wattless :
➡️ Étape 1 : Saisissez l’adresse de votre bien ou son numéro ADEME (que vous trouvez sur votre diagnostic actuel). Cette donnée permet au simulateur de récupérer automatiquement les caractéristiques énergétiques de votre logement.
➡️ Étape 2 : Lancez la simulation. Le simulateur exécute en parallèle deux calculs DPE :
Le premier selon le coefficient électrique actuel (2,3)
Le second selon le nouveau coefficient 2026 (1,9)
➡️ Étape 3 : Consultez les résultats. Le simulateur vous affiche instantanément :
La classe DPE actuelle de votre bien
La classe DPE projetée après la réforme
Un commentaire explicatif sur les écarts constatés
En moins d’une minute, vous obtenez une vue claire et actualisée de la performance énergétique de votre logement avant et après le 1er janvier 2026.
Interprétation des résultats
Une fois les résultats affichés, il est essentiel de savoir les interpréter correctement. Grâce à une interface pédagogique, le simulateur Diagadom ne se contente pas de vous donner une lettre DPE, il vous aide à comprendre ce que cela implique concrètement.
Par exemple : Si votre logement passe de F à E, vous échappez à l’interdiction de location prévue pour 2028. Si vous passez de E à D, vous améliorez sa valeur de marché et sa visibilité sur les plateformes immobilières. Si le classement reste inchangé, vous savez qu’il peut être nécessaire d’envisager des travaux ciblés
Ainsi, vous ne vous contentez pas de simuler : vous passez à l’action avec toutes les cartes en main.
Conclusion : Anticipez dès maintenant la réforme DPE 2026 avec Diagadom et Wattless
La réforme du DPE 2026 va transformer en profondeur le classement énergétique des logements électriques, notamment grâce à l’entrée en vigueur du nouveau coefficient électrique dès janvier 2026. Pour de nombreux propriétaires, cette évolution représente une opportunité réelle d’améliorer leur étiquette DPE sans réaliser de travaux.
Cependant, pour tirer parti de ce changement, il est essentiel d’anticiper. Grâce au simulateur DPE Diagadom, vous pouvez dès aujourd’hui :
- Vérifier l’impact de la réforme sur votre logement
- Éviter les restrictions futures comme l’interdiction de location des DPE E, F ou G
- Valoriser votre bien dans un marché immobilier de plus en plus exigeant
En seulement quelques clics, vous accédez à une analyse claire, gratuite et fiable, appuyée sur les dernières données officielles (ADEME, ministère, arrêté officiel à venir en juillet 2025).
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